Ce vendredi, au cœur de la cité phocéenne, un homme a été arrêté par la police suite à une attaque à la machette qui pourrait s’apparenter à une tentative de homicide. Selon les sources de BFMTV Marseille et France 3 Provence-Alpes-Côte d’Azur, cet incident s’est déroulé en plein centre-ville, créant une vive émotion dans la communauté locale. La victime, un homme dans la trentaine, a réussi à se mettre à l’abri en se réfugiant dans un autobus stationné près de la Porte d’Aix, une zone stratégique où convergent plusieurs arrondissements. Lors de l’agression, il a été blessé à ses bras, touchant principalement ses membres supérieurs, mais son état n’inspire pas d’inquiétude immédiate quant à sa vie.
Refuge dans un bus pour échapper à l’assaillant
La tentative d’agression a eu lieu en pleine rue, mais le malfaiteur a rapidement été intercepté grâce à la vigilance des agents, grâce notamment aux images captées par les caméras de surveillance qui ont permis d’établir son identité et ses mouvements. La victime, encerclée par la violence de l’individu armé, a couru vers le véhicule pour chercher un refuge, évitant ainsi une catastrophe plus grave. La police se donna alors pour mission de localiser rapidement le suspect, dont l’attitude à son arrestation laissait supposer une violence inadmissible. La scène a été tendue, mais le dispositif policier a permis de mettre fin à cette agression en toute sécurité.
Un individu en sang, rapidement interpellé
Le suspect, un homme sans domicile fixe âgé d’une vingtaine d’années, a été arrêté peu après l’incident, notamment grâce à la vidéosurveillance. Lors de son arrestation, il était couvert de sang, ce qui confirme la violence de l’agression. Toutefois, selon les informations relayées par France 3 Provence-Alpes-Côte d’Azur, le ressort de son arme, une machette, n’a pas été retrouvé par les forces de l’ordre, ce qui laisse penser qu’il pourrait s’agir d’un accessoire abandonné ou jeté lors de sa fuite. La rapidité de l’intervention policière a permis d’établir un contact efficace avec le suspect, dont l’aspect maculé de son propre sang intrigue autant qu’il témoigne de la brutalité de l’événement.