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Professeure de lettres modernes, agrégée et déléguée syndicale au sein de Force ouvrière, Cécile Kohler, qui vient de Soultz dans la région du Haut-Rhin, se trouve actuellement en détention en Iran depuis sa arrestation le 7 mai 2022. Lors d’un voyage touristique prévu avec son compagnon, elle a été appréhendée par les autorités iraniennes, qui l’ont accusée d’espionnage sans fournir aucune preuve tangible pour étayer leurs accusations.
Depuis cette date, elle est enfermée à la prison d’Evin, située à Téhéran, une prison tristement célèbre pour ses conditions de détention particulièrement difficiles et inhumaines. Privée d’un véritable procès équitable, elle ne bénéficie que de très rares contacts avec ses proches, ce qui renforce encore plus l’isolement dans lequel elle se trouve.
Alors que la mobilisation en faveur de sa libération continue de s’amplifier en Alsace et dans d’autres régions, la position diplomatique française rencontre de grandes difficultés à faire avancer sa cause. La famille de Cécile Kohler, avec le soutien d’élus locaux et d’organisations de défense des droits humains, multiplie les appels publics pour que son cas ne tombe pas dans l’oubli et pour qu’elle soit bientôt libérée. Malgré l’opacité et la suspicion qui caractérisent le régime iranien, l’espoir demeure parmi ses soutiens qu’un dénouement positif puisse intervenir, resté fragile mais sincère.
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